Invasions mongoles du Japon 2 – stratégies et conceptions opposées

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soldats mongolsAprès les nombreuses ambassades et menaces à peine voilées faites au Japon de la part de l’empire mongol des Yuan , les Japonais ont bien compris qu’un réel danger pèse sur leur archipel. Mais avant de se lancer dans l’histoire des invasions proprement dites, il est intéressant d’étudier quelles sont les forces en présence à la veille du débarquement mongol au Japon. Nous sommes en 1273 et deux cultures guerrières, deux visions du combat, deux stratégies se préparent à combattre l’une contre l’autre.

Les guerriers et l’armement

Deux types de guerriers redoutables à cette époque se préparent à en découdre. D’un côté les Mongols, qui sont d’excellents cavaliers et archers montés, tout comme les Japonais. L’aristocratie guerrière nippone vient avant tout de la chevalerie. Le premier art qu’un bushi de haut rang se devait de connaître était l’équitation et l’archerie (kyuba no michi, la voie de l’arc et du cheval). Le fameux sabre japonais (nihon tô) n’est arrivé que bien plus dans l’ordre des priorités, lorsque les troupes à pied se firent plus importantes. Il fallait pour les sabrer en galopant, un sabre courbe, ce qui donna la forme si caractéristique du sabre japonais. Aujourd’hui encore on retrouve l’art du Yabusame (tir à l’arc à dos de cheval) qui se perpétue au Japon parmi les koryu, mais tandis que les cavaliers sont légèrement équipés, leurs ancêtres du 13e siècle portaient de lourdes armures et montaient de petits chevaux. Il représentait si l’on peut dire, la cavalerie lourde de l’armée japonaise.

De leurs côtés les Mongols avaient aussi de petits chevaux que l’on dit infatigables, d’autant que leurs cavaliers étaient capables de dormir sur la selle tout en voyageant. Eux aussi étaient de terribles tireurs grâce à leurs arcs à double courbure, d’une puissance plus grande que l’arc traditionnel japonais. Mais leur style était davantage celui d’une cavalerie légère, à la façon des Parthes de l’antiquité. Les prouesses des cavaliers étaient connues également pour faire de véritables acrobaties, comme cavaler face à la croupe du cheval tout en décochant des flèches. Mais les Mongols avaient également une seconde cavalerie, lourde cette fois-ci, où les hommes comme les chevaux étaient recouverts d’une protection de cuir et de métal, étaient armés d’une longue pique, ce qui en faisait les chars d’assaut de l’époque. Deux cavaleries donc, une légère composée d’archers et une lourde composée de piquiers tandis que les Japonais possédaient une cavalerie qui faisait deux fonctions en un.

cavalerie lourde mongole

Cavalerie lourde mongole, le char d’assaut du 13e siècle

Toutefois, dans les deux camps ce sont les troupes à pied qui constituaient le gros des troupes, que ce soit sur mer ou sur terre. Préparant une invasion par voie de mer, les Yuan n’avaient pas d’intérêt à multiplier les cavaliers, mais bien les hommes de pied. Les Yuan de Kubilaï Khan dirigeaient leurs fantassins chinois, coréens et mongols à coups de tambours et de gongs. Les manoeuvres étaient basiques, mais efficaces. Tout d’abord le regroupement, un maximum de boucliers en frontal (rappelez-vous que les Japonais n’en ont pas. Lire l’article : Bouclier, le grand absent des armes japonaises), des lances pour avancer au premier rang, puis des épées et des sabres juste derrière, ce qui n’est pas sans faire penser aux légions romaines d’autrefois. Mais dans le même groupe de combattants, plusieurs rangées d’archers formaient les rangs arrière, ce qui permettait d’avancer sous couvert de flèches. Là aussi un détail sur l’archerie à pied à son importance, car elle est culturelle. Les Japonais qui prisaient le kyujutsu (la technique guerrière du tir à l’arc) avaient pour habitude de chercher à tuer un adversaire de valeur (un commandant par exemple) d’une flèche, afin d’en tirer la plus grande gloire personnelle. Chaque soldat cherchait donc une cible précise. De leur côté, les Mongols tiraient des volées de flèches sur une zone, sans trop de préoccuper de cibles particulières. Cette différence, couplée à la portée des arcs mongols (les flèches partaient à 400 mètres contre 260 mètres maximum pour l’arc nippon) a fait de l’archerie Yuan une machine dévastatrice.

La différence de conception de l’archerie entre les deux belligérants ne s’arrête pas là. Puisque l’arc comme le combat au sabre signifiait pour les Japonais la gloire, il fallait avant tout défier un ennemi valeureux en duel. Un cavalier ou samouraï se détachait alors des rangs avant l’engagement, puis donnait son nom, celui de ses ancêtres, son clan et défiait un adversaire qu’il espérait valeureux. On trouve nombre de citations de ce comportement dans le Heike Monogatari. Ignorant tout de ces traditions, les Mongols tiraient aussitôt une bordée de flèches sur l’homme assez fou pour s’être exposé, le laissant sur place avec une trentaine de flèches dans le corps. Pour eux, chaque mort est un ennemi en moins et il n’y a pas de petites économies sur le champ de bataille. Ceci étant dit, il faut faire attention à cette vision des choses. Les Japonais n’étaient pas stupides et si ce comportement a peut-être eu lieu, il ne dut pas être répété après un ou deux exemples. Cette version des faits est sans doute dû à la propagande Yuan après coup, pour ridiculiser un ennemi qu’il n’avait pas réussi à battre en 1274. Par ailleurs, les japonais savaient que leurs ennemis ne parlaient pas leur langue, aussi pourquoi perdre du temps à faire ce genre de déclaration. Il faut donc prendre avec des pincettes certaines idées historiques que l’on pense être fiable.

archer mongol

Archer mongol, ou l’art d’harceler l’ennemi

Autre aspect moins connu, l’arc chez les Japonais jouait également un rôle religieux. Généralement pour annoncer le début de la bataille, chaque armée lançait d’abord une flèche sifflante bien haut dans le ciel. Ce son servait à attirer l’attention des kami pour soutenir leurs favoris et regarder les actes de bravoure individuels que les bushi pouvaient réaliser pendant le combat. Lorsque les premiers Mongols virent dans le ciel des flèches sifflantes, mais non létales, la réaction fut un grand rire. La réponse en revanche ne sifflait pas, mais était radicale, d’autant qu’une partie des flèches étaient empoisonnées, donc la moindre blessure pouvait être fatale. De plus, les Mongols avaient compris que seuls les cavaliers nippons étaient des nobles et donc potentiellement des commandants. Ils faisaient donc d’excellentes cibles de choix. Très vite, les nobles durent descendre de cheval pour se mêler aux troupes à pied pour éviter de se faire trucider avant d’avoir pu combattre. Car une fois arrivés au corps à corps, les combattants étaient à égalité.

Une nouveauté du champ de bataille

Les Mongols s’étaient, grâce à leurs nombreuses conquêtes, adaptés à bien des formes de combat, mais surtout d’armement. Ils étaient ainsi devenus des experts en engins de siège pour détruire les villes par-dessus les remparts. En prenant possession de la Chine, ils découvrirent les feux d’artifice et la poudre noire. Ainsi, ils créèrent les premières bombes en reprenant et améliorant une invention de 1221 de la dynastie chinoise des Jin : la bombe. L’arme était la suivante : une bombe composée d’une gangue de métal solide ou de céramique, de poudre noire au centre, et d’une mèche d’allumage. Le tout était expédié dans les airs à l’aide d’une catapulte. Une autre technique consistait à les faire rouler du haut d’une colline, vers l’armée située en contrebas. Cette arme connue sous le nom chinois de zhen tian lei (litt. tonnerre céleste tremblant) fit monter la terreur d’un cran dans le camp japonais, qui entendait des explosions pour la 1ère fois de leur existence.

bombes mongoles

Restes archéologiques de bombes mongoles trouvées au Japon

Une version allégée est également citée dans le Hachiman Gudokun. Il s’agit d’une « bombe de papier », c’est-à-dire d’une petite bombe à main composée de couches successives de papier durci. Moins dangereuses, mais très bruyantes, en les jetant dans les engagements au corps à corps ou sous les pattes des chevaux, les Mongols avaient trouvés un bon moyen de mettre à terre de nombreux adversaires.

Les tenues de combat

Les Japonais portaient le yoroi, ou armure de guerre. Il faudrait décrire en détail ce qu’est une armure nippone de l’époque pour en comprendre son ingéniosité. On retiendra juste deux choses à son sujet. Tout d’abord son poids, environ 30 kg ce qui, malgré les apparences, n’était pas un problème. Les bushi étaient petits mais costauds et habitués à la porter. De plus, la succession de lames de bambous laqués et de métal permettait à l’armure d’encaisser une grosse partie de l’énergie cinétique des coups. Son seul vrai inconvénient est sa forme fixe au niveau du dos et de poitrine, empêchant le bushi à bouger comme il le voulait. Les coups étaient donc limités à quelques techniques basiques. Ce côté « playmobil » de l’armure devenait un net désavantage quand il fallait se relever d’une chute à cheval et manier les armes au sol. Le yoroi avait été conçu pour des archers à cheval.

archers cavalier japonais

Cavaliers-archers japonais en yoroi

Les Mongols avaient opté pour des tenues radicalement différentes. Les cavaliers lourds étaient entièrement recouverts de métal, avec un casque pointu, en forme de cône arrondi, qui se poursuivait vers le bas sous la forme d’un tressage de lames métalliques afin de couvrir le cou et la nuque. Le reste du corps était couvert du même tressage jusqu’à mi-jambe. On connaît leur équipement précis notamment grâce au Moko Shurai Ekotoba (rouleaux japonais des invasions mongoles). La cavalerie légère, donc les archers montés, avait des tenues souples et plus légères faites en peau de mouton. Enfin, les troupes à pied bénéficiaient d’une tenue de base en cuir de mouton renforcé par des lames de métal cousues, qui pesait environ 9 kg. Les cavaliers avaient quant à eux une tunique de soie sous leurs armures, rembourrée par de la soie brute. Ce n’était pas par goût du luxe, mais bien pour un aspect pratique bien précis. Le problème des flèches n’est pas tant la douleur à l’impact que les dégâts quand on retire la pointe. Une flèche ralentie par une armure devait alors traverser ce rembourrage de fils de soie qui s’entortillaient autour de la pointe. Ainsi, l’extraction devenait plus facile et provoquait moins de dégâts dans les chairs.

Le dernier détail sur la tenue vestimentaire mongole est la ceinture de cuir que tous portaient. Tous avaient une large ceinture de cuir où pendaient un sabre courbe et une longue dague, parfois une hache. En outre, ils avaient deux ou trois arcs, de larges carquois et un bouclier rond. Pourquoi ces armes ? Parce que les archers n’étaient pas qu’archers, et une fois au corps à corps ils dégainaient les armes de poing et engageaient le combat. Les Chinois et les Coréens portaient plutôt les piques et les lances et un grand bouclier rectangulaire aux premières lignes.

Ces détails sur l’équipement et les vêtements sont importants, car ils permettent de comprendre une chose essentielle : au corps à corps, les sabres japonais firent merveille et passèrent sans trop forcer à travers le cuir des fantassins. Il faut se rappeler qu’au 13e siècle, si l’arc est encore l’arme favorite des bushis, la fabrication du nihon tô atteint son apogée avec des forgerons de la renommée de Masamune.

Délégation des responsabilités

Kubilai-KhanLà aussi deux mondes s’affrontent non seulement dans la vision de la guerre, mais dans l’expérience de celle-ci. Kubilaï Khan n’est pas un débutant, ni un empereur mou. Né dans une famille mineure de la lignée royale de Gengis Khan, il a été élevé à la mongole, sur un cheval avec un arc à la main. S’il a combattu dans des campagnes sous les ordres de son grand-père et de son oncle, il a surtout combattu pour sa vie, ce qui change tout dans la vision qu’il a de la guerre. Ici il ne s’agit pas de conquérir, mais de survivre et gagner coûte que coûte. Mais c’est surtout un génie qui comprit très tôt qu’il ne pouvait pas mettre à terre la Chine en restant simplement à dos de cheval et que la victoire signifiait ensuite savoir gouverner avec une vision sur le long terme. Il quitta le chemin de la destruction de Gengis Khan pour s’appuyer et manipuler les élites et les structures de gouvernement déjà existantes dans l’empire du Milieu. Ainsi, il devint le premier empereur de Mongolie et de Chine à la fois, sans parler des extensions en Asie centrale.

La surprise vient du fait que, malgré ses talents prouvés de général, il ne prit aucun rôle personnel (si ce n’est la décision) dans la conquête du Japon. Plus encore il ne laissa pas les grands généraux mongols s’en occuper, car il préférait les avoir sous la main pour la conquête du sud de la Chine, vu qu’il n’occupait que le nord. Ce furent des seconds couteaux qui allèrent au Japon. Par exemple, Fan Wenhu était le général Song (sud de la Chine) battu par les Mongols en 1280. En 1281 il était nommé à la tête des troupes chinoises sudistes pour la seconde invasion.

Hōjō_TokimuneDu côté japonais, le principal responsable de la défense de l’archipel ne prit lui aussi aucune part dans les combats. Hojo Tokimune (1251-1294, peinture ci-contre), fils de Hoko Tokiyori qui avait encouragé le Zen à se développer (lire les articles sur les Sohei, notamment la seconde partie). Nommé très tôt shogun (en 1256), il n’était alors qu’un jeune garçon âgé de 5 ans. Aussi fut-il dès son âge rompu à l’art de gouverner et de prendre des décisions. Il avait pour conseiller particulier le moine zen Mugaku Sogen qui venait de Chine et avait eu maille à partir avec les Mongols. En effet, ce dernier était en méditation lorsque son monastère fut massacré par les Mongols, sans que celui-ci ne sortît de sa méditation. Impressionnés par le personnage, ils lui laissèrent la vie sauve. Une fois au Japon Mugaku forma Tokimune au même détachement face à l’adversité, ce qui lui permit de garder la tête froide lors des prises de décisions capitales qui allaient venir.

Mais lui aussi ne devait pas prendre part à la bataille. Sous ses ordres, pour régner sur le pays, le shogun disposait d’un jito (地頭 administrateurs des terres) et d’un shugo (守護 chef de la police d’abord, puis plus tard, gouverneur militaire) dans chaque province. Le shugo a le pouvoir d’appeler un gokenin (御家人), qui est un chef de clan vassal du shogun, qui a la charge militaire de surveiller l’empereur et sa cour, mais aussi de mater les rebelles et de mettre fin aux troubles divers et variés que le pouvoir pouvait rencontrer, ceci pendant une période donnée. Puis c’est au tour d’un autre gokenin de prendre la relève un peu plus tard. En 1274, le shugo en charge de la sécurité des provinces nord de l’île de Kyushu se trouvait être Shoni Tunesuke. Mais lui aussi ne prit aucune place dans la bataille et délégua à son jeune frère Kagesuke (19 ans) la charge de protection des provinces de Hizen, Chikuzen, Chikugo et des îles de Iki et Tsushima. Les six autres provinces de Kyushu étaient gouvernées par deux shugo de la famille Otomo et Shimazu (3 provinces chacun). Shimazu Hisatsune devait assurer la protection des provinces de Satsuma, Hyuga et Osumi, tandis que Otomo Yoriyasu s’occupait des provinces de Bungo, Buzen et Higo. Sur l’île de Tsushima, le pouvoir était entre les mains du jito So Sukekuni et celle de Iki entre les mains du shugo Taira Kagetaka. Ils furent les deux premiers à essuyer la fureur des Mongols.

Shoni_Kagesuke

Statue de Shoni Kagesuke

On le voit, le système féodal japonais déléguait à des acteurs de moindre importance la responsabilité de la défense du pays. Et à la veille de l’invasion mongole, on peut s’étonner qu’aucun grand général des deux côtés ne se soit véritablement impliqué dans cette guerre.

Des tactiques de combat opposées

Une fois de plus, deux conceptions de l’art de la guerre au cœur de la bataille vont s’affronter. Du côté japonais, même si des milliers d’hommes courent les uns vers les autres, le champ de bataille est en réalité une multiplication de duels. Le bushi prend le premier homme qui lui tombe sous la main, le tue s’il le peut, puis passe au suivant. Il s’agit essentiellement d’un duel permettant de mettre en avant ses qualités techniques et de montrer sa valeur auprès de son commandant, shugo ou encore du shogun quand celui-ci participe. Puis à la fin de la bataille, les survivants prennent les têtes des vaincus et les apportent devant leurs maîtres pour montrer qu’ils sont dignes de louanges et surtout de récompenses (en terres, en boisseaux de riz, en monnaie). Une véritable comptabilité scrupuleuse est tenue à la fin de chaque bataille par des lettrés chargés de savoir qui a fait quoi, ou plutôt combien. C’est pourquoi l’entraînement du bushi au 13e siècle consiste surtout en un travail personnel ou chaque clan va répéter le maniement des armes pour le champ de bataille et travailler le renforcement musculaire.

Pour avoir déjà réalisé de nombreuses conquêtes, les Mongols se sont organisés autrement. Pour eux le nombre prime sur l’individu, ce qui leur a permis d’envahir le nord de la Chine, pays hautement structuré avec des armées massives. La tactique de combat est donc et avant tout celle d’une équipe. Au sein de l’armée, celle-ci était divisée en groupes, puis en sous-groupes pour finir par des équipes de 10 soldats (9 soldats et un chef de dizaine, 9 étant un chiffre sacré pour eux), une décurie romaine en quelque sorte. Il était interdit de chercher à se battre seul, mais toujours en conservant le groupe bien soudé. Face à des bushi individualistes, cette tactique s’avéra payante, car souvent les Japonais se battirent à un contre dix. Autre aspect des groupes de l’armée Yuan est la complémentarité des armes. Au premier rang, bouclier long et lances ou piques. Juste derrière, hommes avec des armes de poing ou des arcs, selon la distance où se trouvait l’ennemi. L’entraînement portait donc avant tout sur les mouvements des décuries, puis les combinaisons avec les autres décuries pour former un escadron (99 plus un chef de centaine), une gourane (1000 hommes) ou une toumane (10.000 hommes, soit un corps d’armée entier). Il s’agit donc d’une capacité à se battre en groupe plus ou moins grand, tout en suivant les ordres sonores donnés par les tambours ou les gongs. Ainsi, le général faisait bouger en temps réel toutes ses troupes.

armée mongole

Il n’est pas besoin de préciser que cette tactique sera d’une terrible efficacité, comme l’avaient déjà prouvé Alexandre le Grand ou les troupes romaines dans l’antiquité.

A présent tous les acteurs sont en place et le premier débarquement de 1274 va pouvoir commencer.

 

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Ivan Bel

Depuis 30 ans, Ivan Bel pratique les arts martiaux : Judo, Aïkido, Kenjutsu, Iaïdo, Karaté, Qwankido, Taijiquanet Qigong. Il a dirigé le magazine en ligne Aïkidoka.fr, puis fonde ce site. Aujourd'hui, il enseigne le Ryoho Shiatsu et la méditation qu'il exerce au quotidien, tout en continuant à pratiquer et écrire sur les arts martiaux du monde entier.

5 réflexions sur “Invasions mongoles du Japon 2 – stratégies et conceptions opposées

  • 7 mai 2014 à 10 h 55 min
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    Bravo pour votre blog et vos articles historiques, c’est passionnant à lire.

    Répondre
    • 7 mai 2014 à 16 h 30 min
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      Merci beaucoup Tyrsson,
      J’ai des dizaines d’idées de sujets historiques en tête, vous ne serez pas en manque 🙂
      Bonne lecture !

  • 7 mai 2014 à 11 h 21 min
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    hello ivan san,

    Merci pour tous les articles historiques- bien documentés et illustrés – sur l’histoire du Japon publiés sur ce blog.

    Répondre
    • 7 mai 2014 à 16 h 29 min
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      Merci Pierre, je suis content que cela te plaise. Je mets du temps à lire pas mal de choses en anglais avant chaque article historique pour éviter autant que je peux les erreurs. Pas facile mais passionnant !
      Au plaisir.

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