Une nouvelle année et des anniversaires.

Merci de partager l'article sur :

ivan-shiatsu-1Je ne parle pas souvent de moi-même, sauf en anecdote à travers mes articles. Mais en cette année 2016, cela fait 30 ans que les arts martiaux accompagnent mes pas. Ce n’est pas un titre de gloire, ce n’est même pas rare de nos jours. C’est juste un anniversaire et des souvenirs par brassées entières qui me remontent à la surface. Cela fait aussi 15 ans que je découvrais le shiatsu et 10 ans que je suis thérapeute dans cette discipline. Ces deux univers, si proche par bien des aspects, m’ont nourri au-delà de toutes mes espérances.

Je me souviens de mes débuts en aïkido à La Rochelle, j’avais 13 ans. J’étais petit, fragile et fluet, mais je savais une chose : j’en avais marre de prendre des raclées à l’école. Ma motivation première était donc bien basique, mais elle avait le mérite d’être claire : je voulais devenir plus fort ! Après un passage éclair par le judo quelques années auparavant, c’est l’aïkido que je choisissais, par pur mimétisme avec mes deux amis d’enfance (Loïc et Emmanuel Royer. Ce dernier est encore aujourd’hui étudiant de koryu auprès de Benjamin Simon et de Claire Simon[1]). À ma grande surprise les violences se sont arrêtées toutes seules avant même que je puisse démontrer quelque technique que ce soit. En réalité, la pratique m’a rapidement marqué au plus profond de ma chair et ce changement devait se voir de l’extérieur. Je n’étais plus une victime. Parmi mes professeurs l’un d’entre eux était également enseignant de karaté shotokan. Je me mis donc à suivre également ses cours. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque quelques années plus tard, pour impressionner bêtement une fille, je tapais du poing dans une planche qui entourait un chantier et la planche se décloua. Je comprenais alors que peu à peu mon corps devenait solide.

Plus tard, mes années d’études me poussèrent à Tours pendant deux années. J’étais mal dans ma peau, hargneux et même agressif. Aucun professeur d’aïkido que je croisais ne me convenait. Je me battais même contre l’un d’entre eux au deuxième cours et l’allongeais par terre. Ce ne fut pas des moments glorieux et aujourd’hui j’en ressens encore une certaine honte. Mais nous passons souvent par des années sombres lorsque nous quittons le cocon familial. Je regrette de ne pas être tombé sur quelqu’un comme Joël Barillet [2] qui aurait su me cadrer et où j’aurai pu croiser deux autres de mes grands amis que je rencontrais des années plus tard, Gil et Jean-Marc, deux aïkidokas de bon niveau.

Âgé de 20 ans, je débarquais à Paris exactement comme l’image que l’on peut se faire d’un provincial qui découvre la capitale. Pour moi, tout était découverte. Et c’est les yeux grands écarquillés que je découvrais le stress des gens, la pauvreté parfois contrastant avec la richesse, la violence dans le métro et les rues, les galères d’argent, mais heureusement aussi les études de chinois. Là, dans les sous-sols de l’université Paris-Dauphine, je descendais voir le cours d’aïkido pour étudiants, sans grand espoir quant à la qualité de l’enseignant qui devait s’y trouver. Je pensais réunir les sous pour me payer le célèbre dojo de Vincennes et suivre les cours de Christian Tissier. Mais faute de moyens pour le moment c’était les sous-sols de la fac.

Ce fut ma seconde bonne surprise dans les arts martiaux. Je rencontrais Philippe Cocconi[3]. Enseignant l’aïkido depuis seulement un an, il avait dans les yeux et l’attitude des reflets inquiétants qui suggéraient que l’on pouvait se faire très mal à le contrarier. Il respirait l’aïkido, mais dans une version que je n’avais jamais croisée encore auparavant. Celle d’une bête fauve à peine domestiquée où chaque mouvement pouvait faire la différence entre la vie ou la mort et non pas une version édulcorée de l’art martial. Je décidais de devenir son élève lors des 2 cours hebdo qu’il donnait. Mais ce ne fut pas facile et je souris encore au cours particulier que je recevais en plus avant chaque cours, pour apprendre à me déplacer, à chuter sur du parquet, à tenir correctement mon corps et un bokken. Au bout de 2 années que je croyais intensives, il m’autorisa à suivre ses cours hors de Paris. J’enchaînais ainsi 10 à 14h toutes les semaines pendant encore 11 années, heureux et habité comme jamais. À son contact j’appris également le iaïdo et le jodo, ainsi que des bases de calligraphie.

Parallèlement, le goût pour le karaté ne m’avait pas entièrement quitté. Lorsque je devins shodan d’aïkido, je reçus l’autorisation de mon professeur d’étudier un autre art martial. C’était la première fois qu’il me laissait le droit d’aller voir ailleurs, me jugeant sans doute assez mûr pour ne pas perdre ou mélanger les techniques. Le retour vers le karaté s’explique là aussi par une bagarre qui faillit mal tourner pour moi. Un jour après le cours d’aïkido à la fac, un petit voyou pratiquant le wushu vint me défier, comme dans les films. Je voulus me dérober en un bel aïkido verbal, mais mes « amis » d’alors me poussèrent à la confrontation. Je me fis littéralement rouer de coups pendant 10 minutes sans pouvoir les esquiver ou les bloquer. J’avais encore beaucoup à apprendre. Me croyant sur le point de tomber à terre, l’adversaire eut la mauvaise idée de m’agripper. Je pus faire enfin une technique de mon répertoire (shihonage en l’occurrence) et je l’enfonçais d’un bon cinq centimètres dans le tatami dont il ne se releva pas. C’était stupide à tous points de vue.

Peu de temps après, je rentrais au dojo de Takemi Takayasu[4], 7° dan de karate uechi-ryu. Mes trois premiers cours durèrent 10 minutes avant de me retrouver allongé au sol K.O. Etonné par ma faiblesse (malgré l’entraînement à la dure que je recevais), celui-ci décida de me reprendre « à la base ». Je restais 6 ans avec lui, deux entraînements hebdo en plus du reste. Chacun de mes coups s’affinait et l’on commençait à me craindre sur les tatamis d’aïkido (mais pas en karaté). Je rencontrais heureusement des pratiquants de valeur qui devinrent des amis respectés et admirés. Louis de Saint Léger[5] et Bertrand Lebreton[6], aujourd’hui tous deux enseignants de Uechi ryu. En aïkido je croisais beaucoup de maîtres, comme Tamura Senseï, Jean-Marc Chamot, Jaff Raji, Toshiro Suga, Malcom Tiki Shewan, René VDB. J’étais à bonne école et je prenais des coups. Je faisais aussi quatre rencontres importantes : Léo Tamaki, son frère Isseï, Jean-Marc Dessapt et Gil Pham Trong. Chacun à leur façon m’a marqué. Léo pour son engagement sans faille ni concession dans la voie martiale. Dans ces années de jeunesse, on s’est tiré la bourre comme on dit populairement, et il en est né une amitié durable et un grand respect pour le pratiquant qu’il est devenu. Pour couper court à tout suspens, Léo m’a largement dépassé avec les années, c’était déjà une comète dans sa jeunesse, c’est maintenant un ovni dans le paysage martial. Isseï pour sa coolitude tout en étant comme un chat sur les tatamis. Jean-Marc pour son sérieux et sa qualité philosophique, littéraire et martiale. Gil pour son amour des arts martiaux et des médecines naturelles. C’est cette dernière voie qui m’a le plus parlé, car Gil souriait et riait de toutes ses dents à chaque fois qu’il parlait de la santé et de ses aventures avec ses patients. Il m’a poussé à trouver ma voie dans les arts de soins.

Mon premier billet d’avion vers l’Asie fut pour la Chine. Mes cours de chinois à l’INALCO devaient être testés sur le terrain. La Chine est un continent en soi et je découvrais des maîtres de Qigong et Kung Fu qui me montrèrent des choses que je ne pensais pas humainement possibles. À partir de là, je n’ai de cesse d’aller en Asie pour voyager et chercher des maîtres d’arts martiaux ou de méditation.

Peu après mon escapade chinoise, j’ouvrais mon premier cours d’aïkido à Paris dans le Saint des Saints, au dojo de la Montagne Sainte-Geneviève, chez Henry Plée. En réalité c’est surtout Pascal Plée qui m’a permis d’accéder au dojo. Ce professeur de kung-fu, notamment maître dans le style de la grue blanche si mes souvenirs sont bons, était la gentillesse même. Il m’a soutenu et permis de faire mes premiers pas d’enseignant avec beaucoup de confiance et de soutien. Je passais aussi beaucoup d’heures à lire dans leur librairie fabuleuse. Je croisais bien sûr Henry Plée une fois ou deux, mais plus comme un vieux maître qui regarde déjà la montagne au loin. Pendant deux ans je pu donner cours et je nommais mon association du nom actuel de mon blog : « fudoshinkan ». J’avais 30 ans.

Parallèlement, malgré mes heures à m’entraîner, je restais profondément frustré. Tous les enseignants que je croisais, japonais ou non, me parlaient de Ki, d’énergie, mais aucun d’entre eux n’avait un échantillon à me montrer. Jusqu’au jour où je croisais la route de François Dufour, praticien de shiatsu et professeur d’aïkido. Après deux initiations avec lui, je savais que j’avais trouvé ma voie et la dimension que j’aspirais à découvrir. Je montais une classe de shiatsu et louais les services d’une enseignante de shiatsu, mais la déception fut au rendez-vous au bout d’un an. J’allais abandonner lorsque je tombais un peu par hasard sur une femme, hollandaise et formée en Colombie-Britannique (Canada). Lucy de Mooy avait 2500 heures de formation en shiatsu clinique derrière elle. Après l’avoir supplié six fois, elle céda et me pris comme étudiant en cours particulier. Elle était aussi karatéka 3° dan et me gratifiait pendant trois ans d’un coup de pied à chaque erreur de pression, de localisation ou de qualité de toucher. À ce rythme, je vous assure qu’on apprend vite.

Et puis j’eu un fils. Cet événement fut un tremblement de terre dans mon existence. En six mois je décidais de quitter Paris et de m’installer en Belgique, non sans vivre un terrible crève-cœur terrible de laisser mes enseignants derrière moi : Philippe Cocconi (aïkido, kenjutsu, iaïdo, jodo, combat libre), Takemi Takayasu (karate uechi ryu), Lucy (shiatsu thérapeutique).

Arrivé en Belgique, ce fut la tournée des dojos pour trouver un aïkido qui me correspondrait, mais sans succès. Je finis par ouvrir mon propre dojo en compagnie d’Arnaud Lioni, un étudiant de Joël Barillet (encore un) que je n’avais pas eu le plaisir de croiser à Tours, ami de dojo de Gil Pham-Trong (le monde est petit). Mais ce fut surtout la rencontrer à Yuichi Kawada qui me transforma. J’avais encore une pratique et une vision de l’aïkido comme un art martial de destruction, sentiment renforcé par la pratique du karaté. Les discussions enflammées, les confrontations verbales et son shiatsu puissant (douloureux même) me renvoyèrent à moi-même. Il m’apprit surtout ce qu’était l’énergie et comment la ressentir et l’utiliser. Je méditais de plus en plus pour répondre à ces questions : qui suis-je et qu’est-ce que je voulais pour moi ? Un jour il vint me dire : « Sans l’empathie un homme n’est bon à rien pour lui-même, encore moins pour aider les autres. Sans compassion et sans amour, il ne peut rien comprendre à la vie ». Ce fut ma révélation, mon satori personnel.

Le bien et le mal prenaient enfin un sens naturel, sans jugement. La peur de mourir n’était plus sur mon chemin. Mes colères s’étaient calmées. Tout ce que j’avais fait jusqu’ici prenait sens (arts martiaux, arts de soin, méditation, choix de vie, rencontres) et je pouvais enfin arrêter de me détruire et de penser que les autres avaient besoin d’une bonne leçon.

Entre Paris et Bruxelles j’avais démarré la courte aventure d’Aïkidoka magazine, sans doute le premier journal en ligne dédié à l’aïkido avec le blog de Léo Tamaki. Le jour de la soirée d’inauguration, les plus grands noms de l’aïkido et de l’aïkibudo sont venus à notre rencontre et j’ai gardé ainsi des amitiés comme celle de Daniel Toutain par exemple. Ce fut surtout le moment où je rencontrai Guillaume Erard. A l’époque en fin d’études de biologie à Dublin, il était très passionné par l’aïkido et l’idée d’écrire à ce sujet. Je lui ai appris deux ou trois ficelles journalistiques et le voilà qui bientôt prenait son envol. Nous avions interviewé ensemble Christian Tissier à Bruxelles, puis « Fou de la Voie », il vit désormais au Japon et travaille pour le Hombu Dojo et la FIA. Aujourd’hui tous les aïkidokas connaissent son blog qui l’une des références en la matière, ainsi que le daito ryu aikijujutsu.

Pendant ce temps-là à Bruxelles, par l’entremise de Bruno Marin je rencontrais Masato Matsuura, professeur de kenjutsu. Avec lui j’eu de nombreux bons moments dans l’étude de trois écoles, dont yagyû shinkage ryû. Nous nous liâmes également d’amitié, car j’avais déjà un niveau respectable en kenjutsu. Étonnamment, au bout de 4 ans de cours d’aïkido, une douleur au sacrum, lancinante d’abord puis insupportable au bout de 6 mois, m’obligea à arrêter la pratique de l’aïkido pour me soigner et surtout pour comprendre pourquoi cela m’arrivait. Il me fallut 1 an et demi pour vaincre la douleur. Avoir mal est toujours un message du corps pour nous aider à mieux nous comprendre. Grâce à cette épreuve, je découvris de nombreuses disciplines de santé alternative. Une fois guéri, je n’avais curieusement aucun désir de reprendre les arts martiaux japonais que je jugeais trop raides, y compris l’aïkido qui est nocif pour le corps à bien des égards.

Aujourd’hui, après diverses étapes, j’ai choisi la voie de l’éternel débutant et je reprends les arts martiaux depuis le début, mais sino-vietnamiens cette fois. Apprendre de nouveaux gestes, une nouvelle façon d’utiliser son corps, plus en accord avec mon âge et les principes chinois du Tao, voilà qui me plaît bien. Par contre, recommencer une discipline nouvelle avec des exigences fortes sur les performances physiques à 40 ans est un défi que je n’imaginais pas. Je transpire, je souffre, je prends des coups, je ne comprends rien, mais je me régale. Mes professeurs Dong Van Sang et sa femme Catherine ont plus ou moins le même âge que moi, mais deux fois plus d’énergie. Je me fais donc un honneur de ne pas flancher. Leur gentillesse m’a propulsé au rang d’assistant et je souris intérieurement en me souvenant que j’ai déjà fait ce parcours, mais en d’autres temps et d’autres lieux. Je recommence. Et j’apprends l’humilité d’être un éternel débutant.

Parallèlement, j’enseigne et pratique le shiatsu avec un bonheur constant et étonné. Bien sûr je continue à rencontrer des maîtres et des enseignants comme Shigeru Onoda, Wataru Ohashi, Jean-Marc Weill et Bernard Bouheret en shiatsu, qui tous m’aident à voir plus loin dans cet art de toucher thérapeutique.

À côté de cela, j’enseigne et pratique la méditation dans une forme sans forme, issue de mon expérience de la méditation zen, vipassana, mindfullness et de la vie tout simplement. Cette voie est sans nul doute celle qui me nourrit le plus profondément. À chaque cours, à chaque séance, j’approfondis la connaissance de mon corps, de mon mental et de ma conscience, sans oublier les réalités de notre vie terrestre. Comme le dit l’excellent Jack Kornfield : « après l’éveil, la lessive ».

Je suis devenu un touriste martial en passant sous la barre des 5 heures d’entraînement hebdo et je l’assume pleinement. Mon chemin actuel est celui de la fusion de mes expériences et différents parcours, de l’aide aux gens dans leur santé physique et détresse morale. Mon chemin est celui de l’approfondissement de la méditation et de la découverte de la puissance de l’amour et du non-jugement. Mon chemin est également celui de l’enseignement et du plaisir à montrer différents chemins qui amènent les individus à se poser des questions, se chercher et réfléchir au sens qu’ils veulent donner à leur vie.

Bien entendu, mon parcours n’est pas extraordinaire ni un cas à part, nombreux sont ceux qui l’ont déjà fait. Mais j’espère qu’il continuera à m’enrichir, à progresser et à savourer chaque moment de ce cadeau incroyable qu’est la vie sur terre.

Bien entendu, le blog sur lequel vous lisez cet article n’est pas récent. Il est surtout le reflet de ma passion intacte pour la culture martiale et asiatique avec une dizaine de voyages en Asie et de nombreuses rencontres sur place. Je continue l’écriture sous cette forme numérique, et grâce au blog, je m’amuse beaucoup à discuter de sujets divers avec des spécialistes mondiaux comme Ellis Amdur ou Meik Skoss par exemple.

Bien entendu, mon passé de budoka n’est jamais loin et la tentation d’y goûter m’a repris récemment. J’ai, un peu comme un premier communiant, repris le chemin de l’aïkido en allant voir Léo en décembre dernier. J’en ai profité pour saluer l’immense Stéphane Crommelynck qu’on ne peut qu’aimer dès la première fois qu’on le croise. C’était comme remonter à vélo. Léo a bien sûr encore affiné sa technique, mais son kishinkaï aïkido m’a réconforté. Il ne cherche pas le conflit via la technique, mais la finesse, le sensible, la précision. Finalement, je dirais qu’il fait du « shiatsu martial » ou de « l’aïkido thérapeutique ». Je suis rentré chez moi sur un petit nuage et surtout réconcilié avec l’aïkido.

Je remercie tous mes premiers enseignants pour m’avoir formé correctement et les enseignants présents pour continuer à le faire. Je remercie mes amis de la première et de la dernière heure pour avoir placé des trésors d’amitié et de confiance en ma personne. Je remercie mes enfants pour m’avoir obligé à me changer de fond en comble. Je remercie ma femme pour son amour doux et constant. Je remercie le Ciel et la Terre. Et je vous souhaite à tous une très bonne année 2016, pleine de lumière et de sueur heureuse.

Merci de partager l'article sur :

Ivan Bel

Depuis 30 ans, Ivan Bel pratique les arts martiaux : Judo, Aïkido, Kenjutsu, Iaïdo, Karaté, Qwankido, Taijiquanet Qigong. Il a dirigé le magazine en ligne Aïkidoka.fr, puis fonde ce site. Aujourd'hui, il enseigne le Ryoho Shiatsu et la méditation qu'il exerce au quotidien, tout en continuant à pratiquer et écrire sur les arts martiaux du monde entier.

6 réflexions sur “Une nouvelle année et des anniversaires.

  • 11 janvier 2016 à 19 h 31 min
    Permalien

    Quelle belle histoire de vie et de passion. Quelle belle histoire où l’humain et la technique se mêlent en un tout nourrissant. Quelle belle histoire du chemin d’un homme qui transcende sa violence et celle du monde.
    Quelle belle histoire infiniment dynamique et inspirante.
    Merci et belle année à vous.
    Paci è salute. La paix et la santé comme ont dit ici en Corse

    Répondre
    • 12 janvier 2016 à 18 h 00 min
      Permalien

      Aaaah la Corse, l’île de beauté. Cela fait si longtemps que je n’y suis pas allé que je suis en manque 🙂
      Merci pour votre commentaire et au plaisir.
      ivan

    • 12 janvier 2016 à 18 h 00 min
      Permalien

      Merci pour ta lecture Francesca. Continues toi aussi sur ta lancée. A bientôt.
      ivan

  • 29 janvier 2016 à 16 h 38 min
    Permalien

    Beau témoignage d’un parcours martial riche avec l’esprit du débutant.
    merci pour tous ces articles que je lis anonymement depuis aikido passion.
    Au plaisir de te relire
    Elyse

    Répondre
    • 2 février 2016 à 10 h 10 min
      Permalien

      Avec plaisir !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.

6 × = 12

*

Fudoshinkan - le magazine des arts martiaux